Le Parc archéologique des Roches Gravées:
Ce parc témoigne de l'importance de la présence amérindienne dans
cette localité Trois-Rivièraine.
Il date de 1970 et d'une superficie de 1 ha, face à l'archipel des
Saintes et plus loin de la Dominique.
On y découvre au milieu d'un chaos de roches volcaniques et d'une
végétation luxuriante, les témoignages gravés sur pierre par les
ARAWAKS, il y a plus de 1600 ans. Ce sont des anthropomorphiques. Situé
sur le chemin de l'embarcadère pour les Saintes. Bien fléché du centre de Trois-Rivières.
Tel 05-90-92-91-88. Entrée : 1,5 € Ouvert tous les jours de 8 h 30 à 17 h (arrivez avant 16 h si vous voulez vraiment profiter de l'endroit). D'abord, c'est une promenade charmante d'environ une heure dans un chaos rocheux, noyé dans une exubérante végétation traversée par un petit ruisseau. Les fleurs, arbres et nombreuses essences, comme ces « figuiers maudits » qui emprisonnent les roches de leurs multiples racines, valent les fameuses « roches gravées ».
Témoignages des Indiens Arawaks, elles datent probablement de l'an 300 apr. J.-C. et rappellent des dessins d'enfants. Pour les néophytes, il n'est pas toujours évident de comprendre la signification de ces gravures. À l'entrée d'une grotte, on aperçoit une tête d'Indien gravée dans la pierre. Son front est très aplati. En effet, par souci esthétique on coinçait le crâne des nouveau-nés entre des petites planches (coutume que l'on retrouve chez les Mayas).
Le Jardin,
du parc généalogiques des Roches Gravées est aussi un superbe jardin
qui présente au fil de la promenade, les différentes espèces de
plantes courantes en Caraïbes. Certaines d'entres elles assuraient la
base de l'économie des Amérindiens.
Avec ses vagues déferlantes, Grand Anse est situé à l'endroit où la
rivière se jette à la mer à travers de beaux sable fin, d'une couleur
noire, dans une anse qui est la plus vaste de la Guadeloupe
C'est une station balnéaire très fréquentée.
C'est au Gouverneur HOUEL, grand propriétaire dans la Grand Anse qu'on doit les premières fortifications édifiées à l'Anse des Pères (1652).
Le Père LABAT fait construire en 1696 un fortin à barbette à Casse-cou (Pointe Canon).
jolie promenade bien balisée, pas difficile Ouste un passage les pieds dans l'eau) qui permet d'aller de l'Anse Grande Ravine à l'Anse Duquéry en longeant le littoral (vue sur les Saintes) en 1 h 15 aller. Départ (ou arrivée selon le sens choisi) au bas du chemin de la Grande Pointe que l'on prend sur la Nl, 2,5 km avant Trois-Rivières quand on vient de Capesterre. Sur le parcours, vestige d'une batterie et d'une poudrière du XVIII' siècle, d'un ancien moulin à vent du XIXe (unique en Basse-Terre) dont les murs ne tiennent debout que grâce au « figuier maudit » qui les enserre. Différents paysages se succèdent : une côte austère, soumise à l'érosion marine et aux vents puis le sous-bois oÙ domine la forêt tropicale humide. Une curiosité non naturelle : on peut distinguer, peu avant l'arrivée à la Pointe Duquéry, quelques débris du bateau du navigateur guadeloupéen Bistoquet qui se brisa sur une caye alors qu'il en finissait avec la Route du Rhum édition 1990.